Koenigsegg Agera

Une autre idée de l'exclusivité

Pour son passage en terre Helvétique, le petit constructeur suédois Koenigsegg avait prévu dans ses bagages un modeste présent : l’Agera. Et comme à son habitude, l’artisan n’a pas fait les choses à moitié…

Koenigsegg Agera - grise - 3/4 avant droit Koenigsegg Agera - grise - 3/4 arrière gauche Koenigsegg Agera - grise - face avant Koenigsegg Agera - grise - face arrière Koenigsegg Agera - grise - détail, phare avant Koenigsegg Agera - grise - habitacle Koenigsegg Agera - grise - détail, console centrale Koenigsegg Agera - grise - compteurs
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Car à l’image des CCX et CCXR, l’Agera se veut être une des créations les plus extrêmes de la production automobile. Lors du développement de l’auto, le focus a été mis sur les sensations de conduite, la vitesse de passage en courbe, le freinage et l’agilité.
L’Agera conserve le V8 4.7l de ses sœurs mais, bardé de deux turbos, il développe ici 910 chevaux et un couple dantesque de 1.100 Nm ! Alors bien sur, les prestations sont à la hauteur de la fiche technique, puisque 3,1 secondes suffisent à se retrouver à 100km/h, tandis que la vitesse de pointe s’approche dangereusement des 400 km/h, 390 pour être exact.

Si les changements extérieurs ne sont pas flagrants, mis à part au niveau des feux arrière, l’habitacle évolue un petit peu plus en recevant un tout nouveau type d’éclairage : le Ghost Light, ou lumière fantôme. Il s’agit en fait de nanotubes lumineux se reflétant sur les surfaces en aluminium. Un concept unique au monde !

L’Agera reçoit également un système multimédia doté d’un écran central pouvant servir de GPS, de chronomètre, d’afficheur des forces G ou d’afficheur de puissance.

Présentée au Salon de Genève, la Koenigsegg Agera sera produite dès la fin de cette année.

Nicolas Morlet

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