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Essai Ferrari 458 Italia GT3

La voiture des gentlemen !

C’est dans le cadre prestigieux des 24 Heures de Spa que notre journaliste-pilote Stéphane Lémeret a eu l’occasion de découvrir la Ferrari 458 Italia GT3, avec même un podium à la clé…

Ferrari 458 GT3 jaune face avant 2 Ferrari 458 GT3 jaune filé 2 Ferrari 458 GT3 jaune 3/4 arrière droit filé Ferrari 458 GT3 jaune face avant 4 Ferrari 458 GT3 jaune 3/4 avant droit filé penché Ferrari 458 GT3 jaune 3/4 avant gauche filé vue de haut Ferrari 458 GT3 jaune phare avant Ferrari 458 GT3 jaune feux arrière Ferrari 458 GT3 jaune longue-portée Ferrari 458 GT3 jaune 3/4 arrière gauche porte ouverte Ferrari 458 GT3 jaune 3/4 arrière droit porte ouverte Ferrari 458 GT3 jaune tableau de bord Ferrari 458 GT3 jaune filé vue de haut Ferrari 458 GT3 jaune face avant 5 Ferrari 458 GT3 jaune 3/4 avant droit Ferrari 458 GT3 jaune filé 3 Ferrari 458 GT3 jaune profil Ferrari 458 GT3 jaune filé Ferrari 458 GT3 jaune face avant 3 Ferrari 458 GT3 jaune 3/4 arrière droit filé vue de haut Ferrari 458 GT3 jaune 3/4 avant droit Ferrari 458 GT3 jaune 3/4 avant droit vue de haut Ferrari 458 GT3 jaune face avant Ferrari 458 GT3 jaune 3/4 arrière droit Ferrari 458 GT3 jaune 3/4 avant gauche Ferrari 458 GT3 jaune face avant vue de haut
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Avec plus de soixante GT3 au départ de chaque manche, les Blancpain Endurance Series se portent incroyablement bien dans un sport automobile européen fortement touché par la crise.

Des courses de trois heures (ou de 24 à Spa) faisant le bonheur des pilotes amateurs fortunés, communément appelés «gentlemen drivers». De quoi remplir les grilles de départ avec des voitures toutes plus belles les unes que les autres.

Grâce à un système appelé «balance de performances», Porsche, Lamborghini, Ferrari, BMW, Audi, Mercedes, McLaren, Aston Martin et bientôt Bentley, Viper ou encore Corvette ont toutes des chances de victoire. Engagé sur une Audi R8 LMS lors de la manche du Castellet, début juillet, j’ai pourtant bien dû me rendre à l’évidence : les voitures aux anneaux n’ont, cette année, aucune chance de briller.

Victorieuses des deux éditions précédentes des 24 Heures de Spa (sommet de la saison Blancpain), elles payent sans doute la trop forte implication d’Audi auprès de ses teams officiels. C’est injuste mais c’est comme ça : en R8 sur le circuit Paul Ricard, j’ai eu toutes les peines du monde à me débarrasser de gentlemen drivers commettant beaucoup de fautes mais bénéficiant de la puissance de leur machine.

La plupart roulaient en… Ferrari. Voilà une des raisons pour lesquelles j’ai opté pour une 458 Italia pour le rendez-vous spadois. Une excellente idée, tant cette voiture se montre facile à piloter et performante, même lorsqu’on la découvre lors des premiers essais officiels de cette prestigieuse épreuve…

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