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Les changements sont bien évidemment semblables à ceux opérés sur la Continental GT.

L’auto reçoit donc un nouveau facièrs, calqué sur celui de la Mulsanne, avec des blocs optiques centraux agrandis aux détriments des extérieures, à la taille réduite.

Calandre et boucliers complètent les changements dans la partie avant, tandis qu’à l’arrière, les feux allongés sont eux aussi repris du coupé.

L’habitacle évolue en douceur, en se contentant de revoir la qualité de ses matériaux et assemblages, et de proposer de nouveaux habillages, sans avoir à faire appel au département Mulliner. L’équipement s’enrichit, lui, d’un nouveau système d’infodivertissement, bardé de la navigation et de toutes les connexions (USB, AUX, iPod) dont les utilisateurs peuvent avoir besoin. Ils pourront également stocker leurs fichiers sur le disque interne de 30Gb intégré.

C’est toujours le gros bloc W12 de 6 litres de cylindrée qui donne vie à l’auto. Sa puissance a été revue quelque peu à la hausse pour offrir 567 chevaux et 700Nm désormais, de quoi aller chercher les 100km/h en 4,8 secondes. C’est seulement 2 dixièmes moins bien que le coupé.

Tout comme ce dernier, la répartition des masses de la GTC a également été revue, passant de 50:50 précédemment, à 40:60 aujourd’hui, pour un comportement encore plus affûté.

Ne reste maintenant plus qu’a attendre le facelift de la Continental Flyng Spur et des variantes Speed pour que toute la gamme soit rafraîchie.

Nicolas Morlet

V12-GT

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